Bien. Fort bien. Mais je réplique.

Message à ce cher commentateur qui commence à m'énerver à force de me narguer...
Peut-être que tu as eu des supers notes en bio, etc, mais tu es en S !!!
Conclusion, c'est pitoyable.
Hé oui, parce que la première ES (où je suis bien sûr), option maths, c'est le programme de maths de S (avec 6h par semaine), bon, ok, pas de physique-chimie, et peu de bio... mais c'est aussi et surtout, le programme de L en histoire et un bon ptit programme de français aussi... Bref, être en S, d'après ma doctrine, n'a rien de bien réjouissant, et surtout de bien glorieux. Tout le monde va en S. Tout le monde (ou presque) réussit à avoir son bac S (quand il a réussi à faire ses deux années). Beaucoup de gens ont même une mention au bac S.
Et en ES ? Hé non ! ES c'est dur, ES c'est méga-équilibré, ES il faut être super fort en maths, mais autant en histoire, et en français. ES, c'est une matière en plus, les Sciences Economiques et Sociales, où on apprend (à condition d'avoir un prof convenable) à élargir un max sa culture G, et même, si on a une super prof, à s'ouvrir sur le monde, à comprendre et connaître les bases de l'économie (qui est la base elle-même de tout, de nos jours...), et même à faire de la sociologie, étude super-intéressante et enrichissante s'il en est.
Tout ça pour dire que je suis très fière d'être en ES, qui plus est dans ce cher lycée parisien, Henri IV.

En conclusion, je dirai que quoi que vous puissiez raconter, rien ne m'ébranlera. A part, peut-être, ma note de bio quand le prof (bouh, il a laissé pousser la moustache au fait, maintenant on dirait un mammouth poilu...) me la rendra la semaine prochaine. Ainsi que celle de la dernière compo d'histoire. Au fait, si vous n'avez rien à faire, que vous vous ennuyez fortement, je vous donne à tous le sujet (corrigé dans le livre d'histoire Hatier 1ères L-ES) :
La République, un régime de compromis (1870 - 1914). Bon courage!

Et pour finir, je rajouterai une bonne fête à toutes les femmes, en cette Journée de la femme !

Ah oui, et bien sûr, le mot de la fin de mon dernier article, sur donner le droit de vote aux jeunes de 16 ans pour les intéresser à la politique, était pour rire.

Et en bonus, un avant/après pose spéciale "je m'la pète sur les photos" de Victoria...

(désolée, mais c'était trop drôle; et puis tu sais, je t'aime quand même ^^)